Prospérité Québec, une campagne du conseil du patronat du Québec
Depuis que je m'implique un peu plus dans le milieu des affaires et la communauté des technologies de Montréal, j'ai découvert un potentiel énorme au Québec et plus précisément à Montréal. N'y voyez pas ici une guerre de clocher: c'est simplement que j'y habite et c'est dans ma ville que je m'implique. Je fais régulièrement la connaissance d'entrepreneurs qui seront les prochains Facebook et Google de ce monde. Je rencontre souvent des développeurs de génie qui changent, petit à petit, le monde tous les jours. Je discute à maintes reprises avec des passionnés qui débordent d'idées. Pourtant, trop souvent le discours que j'entends est que le Québec n'est pas à son plein potentiel: retard en technologie, performance économique inférieure à la moyenne canadienne, milieu des startups loin de celui de Silicon Valley... Force est d'admettre, malheureusement, que c'est la réalité!
Il y a quelques semaines, j'ai été invité à titre de blogueur à joindre la nouvelle campagne du Conseil du patronat du Québec, Prospérité Québec. J'ai tout de suite accepté l'offre tout en aidant à trouver des gens clés qui ont le bagage et l'expérience pour partager leurs opinions et aider les Québécois à libérer leur plein potentiel. La prospérité est un sujet large qui peut englober plusieurs aspects, de là, la variété des collaborateurs. Pour mon premier billet, j'ai décidé de parler de l'intrapreneuriat, une forme d'entrepreneuriat souvent sous-estimée. C'est ce que je fais depuis quelques années et en plus de me permettre de m'épanouir dans mon travail, cela me permet de participer à la prospérité du Québec. Cela fait tout de même quelques années que je ramène de l'argent des États-Unis, mes employeurs étant Américains, pour l'investir et le dépenser ici. Sous peu, mon deuxième billet sur le démarrage à son compte, sera mis en ligne. Je vous invite donc à aller consulter le site de cette audacieuse campagne et d'aider, à votre façon, le Québec à prospérer.